Geran arrivait de son bureau. Il venait de manger une barre chocolatée. Il était déjà rassasié. Il avait pris avec lui une bouteille d’eau, et une barre de céréale, au cas où il serait envahi par ce grand supplice, la faim. Il avait un walther P22 sur chacune de ses jambes. Il passa dans un couloirs, il y avait un bruit bizarre … Un bruit de bagarre, mais le médecin ne s’y attarda pas … Il remit ses écouteur et enclencha la musique qu’il mit a bloque. Il se dirigeait vers la salle de tir. Il avait envie de se défouler, tout comme dans son bureau, où, il avait envie de partir en mission. Il arriva dans le couloir pour accéder à la salle de tir. Sur le côté, se trouvaient deux gardes. Ils prenaient chaque nom des personnes entrantes et les armes avec lesquelles ils allaient entrer. Geran déposa son nom et celui de ses armes pour enfin entrer dans la pièce.
Rien avait changé depuis la dernière fois, moment où il avait parlé avec le chinois pour la deuxième fois. Neimek s’avança vers un des strand. Il se positionna alors debout, face à la cible. Il l’examina, un long moment, avant de, enfin, prendre un de ses Walther P22. Il visa la cible, cette fois moins longtemps, et sans trop réfléchir, pressa la détente, qui envoya un balle en plein dans le poumon droite de la cible, une seconde pression et une nouvelle balle alla se nicher dans la cage thoracique. Les coups suivant se suivirent, les un après les autres. Tous atteignirent la cible. Geran avait la musique a fond dans les oreille. Il ne pensait a rien. Son esprit était vide, son seul bute, faire que les bouts de métal cylindrique touche une des parties de la cible. A son 14eme coups, son P22 était à sec. Le médecin fit venir alors la cible. Il observa d’abord les endroits que ses balles avaient transpercés, puis il changea de cible. Et mit la cible à 100 mètres de sa position.
Il prit alors ses deux Walther P22. Cette fois, il passa un temps minimes a examiner la cible, et en une seconde, commença à vider ses chargeur. Il ne voyait pas exactement où arrivait les balles, mais la cible était entrain de ce déchirer. Lorsqu’il eut tiré 7 balles de chaque revolver, il ne tira plus qu’avec un de ces derniers, pour pouvoir, quand l’un fut à sec, embrayer sur l’autre pendant qu’il rechargeait celui sans balle. Une fois les deux pistolets rechargés, il recommença à tirer synchroniquement. Au bout de 19 balles, la cible se déchira et la partie droite tomba a terre. Neimek continue tout de même à tirer. Cela lui faisait un bien fou. Le tir était une de ses passions. Il n’avait encore jamais aussi bien tiré. Il ne ratait pratiquement jamais la cible. Sa pensée était toujours vide. Il ne savait comme il faisait, mais rien ne passait dans sa tête, seul l’information, d’exploser la cible. Il devait en finir avec cette cible. Il ne le lui restait plus que quelques balles. Il en avait perdu le compte. Quand, un de ses Walther, fut à court de munition, il arrêta de tirer complètement, il lui restait une balle dans son autre pistolet. Il visa alors le crochet qui tenait la cible. Il comptait la faire lâcher. Il visa un long moment, un très long moment. La musique ne le gênait pas, au contraire. Il regarda mieux la cible, et au bout d’une trentaine de seconde, pressa la détente. C’est alors qu’une balle sortit du pistolet, et atteint la cible au niveau du crochet. Cette dernière, se mit bancale. Elle tenait plus qu’à un fil. Geran n’avait pas visé assez à droite. La cible n’allait pas tomber.
Il rechargea alors ses deux Walther P22 et les rangea. Il appuya alors sur le bouton pour ramener la cible, mais le treuille n’avait même pas fait un mètre que l’objectif de visée, tomba. Geran partit alors …
Sujet: Petit entrainement